L’école de la vie


Chacun de nous à sa part, tout le monde y servit, personne n’a le droit de revendiquer.

Il y a des moments gais, des moments tristes, mais tous les deux font partis de la vie .

L’un a plus que l’autre, même si notre âme est le même, mais chacun a son destin.

Personne ne peut prendre la part de l’autre, même si on leurs change de cœur.

Chacun de nous doit se contenter, même de peu doit être satisfait, d’un jour à l’autre les pages tournes on le sait jamais.

Ce qu’on ne doit jamais oublier a tout moment on doit être éveiller, nous partirons tous personne ne restera ici, notre devoir est : de prendre et de laisser.

La force et la richesse, la gaîté et la tristesse, ne seront jamais au paradis comme un passé.

¤Mas M.Ouaret¤
Les deux Bergès

C’est l’histoire véridique d’un berger et d’une bergère qui sont nés et vivent dans le même village et avec les mêmes coutumes.
Chacun a son troupeau de chèvres et de moutons. Les champs et la forêt étaient leurs lieux de joie et de bonheur. C’est ici et là que de temps en temps, sous un arbre ou sous un rocher en écoutant les oiseaux chanter ou en entendant le bruit de l’eau sous les rochers que les deux enfants échangeaient leur nourriture , chacun d’eux ramenait à l’autre une part de ce qui avait été fait par sa mère. La fille apportait même à son inséparable du pain du boulanger qui était un luxe à l’époque. Évidement la fille était d’une famille plus aisée que le garçon.

Malheureusement, un soir les oiseaux ne chantèrent plus, les rivières devinrent sèches, elles ne coulaient plus. Une nouvelle circulait d’une maison à l’autre, les enfants du village informèrent le berger que la fille avait été donnée par son père
à quelqu’un d’autre très loin de son village.
Une tempête est tombée sur les deux bergers, ils ne leur restaient que les larmes et les rêves de leur passé.



¤Mass M.Ouaret¤
la soif d’entendre ta voix


Voila la gazelle du Sahara, voila la gazelle du Sahara, si je ne t’ai pas appelé depuis longtemps, ce n’est pas par oubli ou par manque de temps.

C’est plutôt pour que tu oublis, mon nom pour un moment.

Même si j’ai la foi qui tremble de temps en temps, quand je pense à toi.
Et même si mes oreilles résonnent, quand quelqu’un prononce ton nom.

«Mais j’avoue, mais j’avoue» que j’ai soif de tout ce qui vient de toi.
Même quand tu sors tes griffes de temps en temps, «j’adore, j’adore» entendre le grincement de tes dents.

«Oui, Oui» mille fois je n’ai aucune loi sur toi, je n’ai aucun droit pour quoi que ce soit.

Mais seulement ne pas m’interdire de rêver, ce que je croyais était à moi

De temps en temps quand je renvoi ma mémoire, à nos projets de futur temps, je ris comme un enfant.

Mais malheureusement, quand j’ouvre les yeux, et je trouve la vérité devant moi, je me mets à pleurer comme une femme sans enfants.

Ton rire et ton charme, sont les deux sources de mon espoir.

Ton rire et ton charme, je m’adresse à dieu le tout puissant pour qu’il te protége contre tout ce qui est brûlant.


¤ MASS.M.OUARET¤
Voilà quelques textes tirer du livre A lbaz amedyaz le livre de poésie que j’ai écrit juste après L’enfant du village que vous pouvez voir en allons à l’adresse suivante : mm-ouaret.i-clic.net
Vous pouvez aussi le trouvez sur se blog très prochainement il y aura des photos et beaucoup de nouveauté à propos des deux livres qui sont tout les deux riche en émotion.
Avant de vous parlez de « l’enfant du village » j’ai voulu commencer par le deuxième : A lbaz amedyaz, je vous aie donné un petite aperçu du livre qui a était écrit en langue tamazighte ma langue natal.
Vous trouverais des textes écrit en langue française comme c’est le cas au début de se blog et cela pour donner la chance à tous de pouvoir lire et sentir a travers les mots et les images ce que moi Ouaret j’ai vécu.
Pour s’eux qui n’on pas u la chance de parler la langue tamazighte ou bien de la lire, je vous fais savoir que deux C.D vont bientôt voir le jour, ils engloberont les thèmes du premier chapitre : tayri du livre A lbaz amedyaz. Vous serais informé de leur sortit sur le marché.
Bien plus encor, les deux livres vont sortir très bien tôt.

Le livre A lbaz amedyaz contient trois chapitres qui sont les suivants :
Chapitre 1 : Tayri.
Chapitre 2 : Culture.
Chapitre 3 : Révolution.
Aujourd’hui je pense qu’il est temps que je passe aux choses sérieuses, je pense que beaucoup d’entre vous s’impatiente de lire ses poèmes là.
Le premier chapitre contient 33 poèmes dans les titres sont les suivants :
-Safia
-Fcant uy cawran
-Init-as (que vous trouverais aussi sur les deux C.D)
-Tiririt yef useqsi
-Yewen wass deg-ussan rabbi
-Cah fell-ak a yul-iw
-Fkkan timrist
-Ssaramey-ak ssbar a yul-iw
-Tirzeft-im
-Ata wul-iw idaq
Le deuxième chapitre contient 54 poèmes, oui c’est le chapitre ou vous passerai plus de temps à le finir que les deux autres mais avec plus de plaisir, je ne vous mentirai pas en vous disent que les trois son trop bien, à en juger par vous-même, le deuxième chapitre contient les poèmes dans les titres sont les suivants :
-A tamedyazt
-A timehramt mizuzaren
-A y-amesebrid
-A yar zzman
-Ass n-tlata tamedit
-Ayhut
-Ata wass
-Cefu n-ugujil
-ttrunt w-allen
-Asmi yella zzman
Le chapitre dernier lui contient 11 poèmes dans les titre sont les suivants :
-A taddart-iw(1)
-A taddart-iw(2)
-Asmi idyehdar amezwar n-ubambar
-Ata wass
-Ddunit n-ttura
-Yewen wass mancci am yal wass
-Mliyi ay-adrar n-seryin mliyi
Voila un avant gout de se qui vous attend en lisent les trois chapitres du livre (A lbaz Amedyaz), et en écoutant les deux C.D vous aurais moins de poèmes à entendre mais vous serais envouter par l’émotion.
Et pour s’eu qui veulent pas attendre la sortie du livre et du C.D, vous pouvez aller dès maintenant vers l’adresse suivante ou vous trouverais ses trois chapitres du livre:
poesiealbazamedyaz.over-blog.com
Pour un petit problème de caractère de la langue tamazight rencontré sur le site, je vous invite à télécharger la police hummanistbérbérlatin que vous trouverais sur internet comme ça votre ordinateur sera capable de lire les poèmes écrit en langue tamazight, merci.