Apérçu du film en photos



Photo souvenir

Très belle photo non ?pour nos judokate, oui, art martiaux et cinéma et elles assurent.

Une répétition avec Mustapha Ben-ouaret dit Tahar (notre producteur) et Kamal, avec la présence de Brahim et moi-même.

Des ancien Moudjahidine sont venu assister au tournage, quelques’ un d’entre eux on était filmé, leurs témoignage nous est précieux, merci à vous tous d’être venu et pour tous ce que vous avez fait pour notre pays.


Un moment de détente pour tous le monde et en musique, vous le mérité tous

Une répétition de mes judoka, ne voyez-vous pas quelle belle avenir ils on, les art martiau et le cinema très prometeur.

Moi et ma fille HAYET très attentive et très bonne actrice.

Une répétition et vous voyer bien dans cette image que nous avons tous filmé avec une caméra numérique ce qui n’est pas le cas des moyen utiliser pour les films à grand budgets, pendant le tournage on a fait preuve du sens de l’improvisation et de l’originalité pour la réussite de ce film ‘TIWIZI’

Une scène ou moi-même (celui avec le bonnet vert) j’expliquais à ‘Nna Zouina’ ce qu’elle devait dire et faire.
L’aïd vient de passer une fête que j’espère vous a rapprochez les un les autres et qui a ramener du bonheur et la joie dans vos cœurs, je vous dis *l’Aïd Amerbuh* à tous le monde Amazighe ou pas bonheur santé prospérité pour tous.
J’ajoute à l’occasion du nouvel an qui approche, un souhait et une pensé pour tous les malades du monde que dieu le tous puissant leurs vienne en aide et leurs envoi sa grâce et les accompagne tout au long de la vie, et un autre souhait nous concernant tous, la paix, la paix foix trois, pourquoi ? Simplement pour que nous vivions en sécurité et en harmonie avec tous se qui nous entour, que la guerre dans le monde fasse partie du passer, et qu’un nouveau air commence se lui de LA PAIX AU MONDE.
Voici un poème que j’ai écrit en tamazight traduit en français pour que tous vous puissiez le lire et le comprendre, et pour les passionné de tamazight, vous le trouverez sur l’adresse suivante : poésiealbazamedyaz.overblog.com, je le dédie à tous le monde, homme, femme, enfant, tous sans exception.

En parlant de 2008 qui nous promet beaucoup déjà, voilà l’actualité : un film très riche en émotions qui nous rappel le passer, la vie que mener nos parents autre foi, un film constituer de trois partie : histoire, révolution, et culture, se film intitulé : TIWIZI est écrit, et mis en scène par moi-même (M.M.OUARET), Producteur: sarle Point-Pub (da TAHAR), directeur du scenario BEN-OUARET MUSTAPHA (dit TAHAR), sponsor: Maitre BEN-OUARET MOUHAMED (avocat), et beaucoup d’autres.

Nous somme en tournage depuis quelques semaines à tala ouaghrasse un village pas loin de tala hamza willaya de Bejaia, nous avant tourné plus de la moitié du film en ce référent comme toujours à l’histoire, au faits réels, et sur tous les témoignages qui compte beaucoup dans notre film, un filme qui touche à notre culture nos coutumes et traditions, aucune erreur ne sera tolérable, comme disent certains philosophe : « changé le passer feras de nous les condamné du future ». Je vous tiendrai informé de sa sortie, j’espère qui plaira à beaucoup d’entre vous.
L’école de la vie


Chacun de nous à sa part, tout le monde y servit, personne n’a le droit de revendiquer.

Il y a des moments gais, des moments tristes, mais tous les deux font partis de la vie .

L’un a plus que l’autre, même si notre âme est le même, mais chacun a son destin.

Personne ne peut prendre la part de l’autre, même si on leurs change de cœur.

Chacun de nous doit se contenter, même de peu doit être satisfait, d’un jour à l’autre les pages tournes on le sait jamais.

Ce qu’on ne doit jamais oublier a tout moment on doit être éveiller, nous partirons tous personne ne restera ici, notre devoir est : de prendre et de laisser.

La force et la richesse, la gaîté et la tristesse, ne seront jamais au paradis comme un passé.

¤Mas M.Ouaret¤
Les deux Bergès

C’est l’histoire véridique d’un berger et d’une bergère qui sont nés et vivent dans le même village et avec les mêmes coutumes.
Chacun a son troupeau de chèvres et de moutons. Les champs et la forêt étaient leurs lieux de joie et de bonheur. C’est ici et là que de temps en temps, sous un arbre ou sous un rocher en écoutant les oiseaux chanter ou en entendant le bruit de l’eau sous les rochers que les deux enfants échangeaient leur nourriture , chacun d’eux ramenait à l’autre une part de ce qui avait été fait par sa mère. La fille apportait même à son inséparable du pain du boulanger qui était un luxe à l’époque. Évidement la fille était d’une famille plus aisée que le garçon.

Malheureusement, un soir les oiseaux ne chantèrent plus, les rivières devinrent sèches, elles ne coulaient plus. Une nouvelle circulait d’une maison à l’autre, les enfants du village informèrent le berger que la fille avait été donnée par son père
à quelqu’un d’autre très loin de son village.
Une tempête est tombée sur les deux bergers, ils ne leur restaient que les larmes et les rêves de leur passé.



¤Mass M.Ouaret¤
la soif d’entendre ta voix


Voila la gazelle du Sahara, voila la gazelle du Sahara, si je ne t’ai pas appelé depuis longtemps, ce n’est pas par oubli ou par manque de temps.

C’est plutôt pour que tu oublis, mon nom pour un moment.

Même si j’ai la foi qui tremble de temps en temps, quand je pense à toi.
Et même si mes oreilles résonnent, quand quelqu’un prononce ton nom.

«Mais j’avoue, mais j’avoue» que j’ai soif de tout ce qui vient de toi.
Même quand tu sors tes griffes de temps en temps, «j’adore, j’adore» entendre le grincement de tes dents.

«Oui, Oui» mille fois je n’ai aucune loi sur toi, je n’ai aucun droit pour quoi que ce soit.

Mais seulement ne pas m’interdire de rêver, ce que je croyais était à moi

De temps en temps quand je renvoi ma mémoire, à nos projets de futur temps, je ris comme un enfant.

Mais malheureusement, quand j’ouvre les yeux, et je trouve la vérité devant moi, je me mets à pleurer comme une femme sans enfants.

Ton rire et ton charme, sont les deux sources de mon espoir.

Ton rire et ton charme, je m’adresse à dieu le tout puissant pour qu’il te protége contre tout ce qui est brûlant.


¤ MASS.M.OUARET¤
Voilà quelques textes tirer du livre A lbaz amedyaz le livre de poésie que j’ai écrit juste après L’enfant du village que vous pouvez voir en allons à l’adresse suivante : mm-ouaret.i-clic.net
Vous pouvez aussi le trouvez sur se blog très prochainement il y aura des photos et beaucoup de nouveauté à propos des deux livres qui sont tout les deux riche en émotion.
Avant de vous parlez de « l’enfant du village » j’ai voulu commencer par le deuxième : A lbaz amedyaz, je vous aie donné un petite aperçu du livre qui a était écrit en langue tamazighte ma langue natal.
Vous trouverais des textes écrit en langue française comme c’est le cas au début de se blog et cela pour donner la chance à tous de pouvoir lire et sentir a travers les mots et les images ce que moi Ouaret j’ai vécu.
Pour s’eux qui n’on pas u la chance de parler la langue tamazighte ou bien de la lire, je vous fais savoir que deux C.D vont bientôt voir le jour, ils engloberont les thèmes du premier chapitre : tayri du livre A lbaz amedyaz. Vous serais informé de leur sortit sur le marché.
Bien plus encor, les deux livres vont sortir très bien tôt.

Le livre A lbaz amedyaz contient trois chapitres qui sont les suivants :
Chapitre 1 : Tayri.
Chapitre 2 : Culture.
Chapitre 3 : Révolution.
Aujourd’hui je pense qu’il est temps que je passe aux choses sérieuses, je pense que beaucoup d’entre vous s’impatiente de lire ses poèmes là.
Le premier chapitre contient 33 poèmes dans les titres sont les suivants :
-Safia
-Fcant uy cawran
-Init-as (que vous trouverais aussi sur les deux C.D)
-Tiririt yef useqsi
-Yewen wass deg-ussan rabbi
-Cah fell-ak a yul-iw
-Fkkan timrist
-Ssaramey-ak ssbar a yul-iw
-Tirzeft-im
-Ata wul-iw idaq
Le deuxième chapitre contient 54 poèmes, oui c’est le chapitre ou vous passerai plus de temps à le finir que les deux autres mais avec plus de plaisir, je ne vous mentirai pas en vous disent que les trois son trop bien, à en juger par vous-même, le deuxième chapitre contient les poèmes dans les titres sont les suivants :
-A tamedyazt
-A timehramt mizuzaren
-A y-amesebrid
-A yar zzman
-Ass n-tlata tamedit
-Ayhut
-Ata wass
-Cefu n-ugujil
-ttrunt w-allen
-Asmi yella zzman
Le chapitre dernier lui contient 11 poèmes dans les titre sont les suivants :
-A taddart-iw(1)
-A taddart-iw(2)
-Asmi idyehdar amezwar n-ubambar
-Ata wass
-Ddunit n-ttura
-Yewen wass mancci am yal wass
-Mliyi ay-adrar n-seryin mliyi
Voila un avant gout de se qui vous attend en lisent les trois chapitres du livre (A lbaz Amedyaz), et en écoutant les deux C.D vous aurais moins de poèmes à entendre mais vous serais envouter par l’émotion.
Et pour s’eu qui veulent pas attendre la sortie du livre et du C.D, vous pouvez aller dès maintenant vers l’adresse suivante ou vous trouverais ses trois chapitres du livre:
poesiealbazamedyaz.over-blog.com
Pour un petit problème de caractère de la langue tamazight rencontré sur le site, je vous invite à télécharger la police hummanistbérbérlatin que vous trouverais sur internet comme ça votre ordinateur sera capable de lire les poèmes écrit en langue tamazight, merci.

Ma premiére Maison toujours dans mon coeur

voilà une photo de moi et de ma maison cel ou je suis né, beaucoup d'émotions pour moi car c'est là ou j'ai grandi, là ou j'ai passer mon enfance, et voilà ce qui l'en réste aprés la guére de 1954 mais la porte et le mure sont toujour debout, méme après toute ces années je garde énormément de souvenir de la maison de mes parants que dieux les bénisse

Roi et Reines des montagnes.

Voilà un texte qui donne un aperçu de la détermination et de l’amour de nos parents pour leur pays

La révolution de 1954 à 1962 qui était l’objectif des héros des reines des montagnes.
Rien ne pouvait les arrêté, ce malgré les chars les blindés et les avions de l’ennemi.
L’indépendance était leur principal objectif avant leurs familles et leurs vies.
Mal nourri, mal loger, mal habillé, mal chausser, mais leurs courage, était plus fort plus que tous ce que l’ennemi possédait.
La lune était leurs ami pour éclairé les pièges que l’ennemi leurs poser.
Le froid était leur compagnon de jour et de nuit, la hache et le couteau était leurs armes préférer.
Rien ne pouvait les arrêtait, leurs décision prise était irrévocable.
Les années passées, la révolution continue, l’ennemi se décourageait, ce malgré l’aide qu’il recevait de l’étranger.
Rien ne pouvait leurs changer de décision, mourir pour eux était un honneur.
Vivre sous le drapeau de l’ennemi était un déshonneur.
L’année «62» était la fin de la 4émé puissance mondial, BATTUE par les héros et les reines des montagnes.